Notre trio a rayure sera en représentation au centre départemental d’accueil de l’île de Ré le 16 décembre prochain. Avant les fêtes, ils proposerons un petit concert musette plaisir pour les résidents de ce centre d’accueil .

Publié le Le trio musical Les 3 Zèbres en mode 1930.

Le trio musical Les 3 Zèbres en mode 1930.
© Photo NR
Parents et enfants étaient au rendez-vous festif de ce samedi 5 juin et l’on pouvait deviner sur les visages encore masqués le plaisir de sortir, se retrouver et profiter du moment. Les enfants ont joyeusement participé aux jeux proposés, tels que l’hyppo glouton géant, jeu réunissant un parent et un enfant et consistant à attraper un maximum de balles, défi Tétris, morpion géant ou parcours siamois… Des saynètes improvisées par des enfants de l’atelier Théâtre d’impro ayant pour thème « Nos différences » ont permis aux jeunes acteurs de jouer sur les émotions, les goûts, les caractères ou les différences physiques. Au programme également : lectures contées, balade sur le parcours de Magné « de port en port », démonstration de danse brésilienne capoeira avec le groupe niortais Ginga Livre Capoeira, concert ados et enfants, fanfare, musique de rue, prélude à la création d’une école de musique de rue. Pour Anthony Levrault, le directeur du CSC, « c’est une belle journée familiale, représentative des deux communes de Magné et Coulon. C’est ma première expérience de présence et d’animation sur le Festival du marais, qui a remplacé la fête du centre, et c’est vraiment une réussite, on a du monde, les gens sont heureux. Je tiens à remercier élus, bénévoles et associations qui ont contribué à ce succès, ainsi que Daniel Bonneau qui a animé et proposé la balade de port en port. »
Le trio vocal et musical Les 3 Zèbres (guitare, batterie et accordéon) a ramené le public dans les années 1930 dans l’esprit guinguette au bord de l’eau. Pantalon en bas du mollet, casquette et marinière zébrée marine et blanc, les trois compères ont permis aux uns de se livrer à la mélancolie de la belle époque, aux autres de rythmer la musique de la tête ou du pied ou bien de valser, tangoter ou javater sur le parvis de l’église. Avec ses tables sous les arbres, le lieu se prêtait parfaitement à l’atmosphère de l’époque, gouaille du chanteur et accordéon de rigueur, dans un moment simple, frais, joyeux et déconnecté.