Publié le 14-06-2021 à 06:25 dans la Nouvelle République

Dans le cadre de la cinquième saison, festival organisé par Niort agglo, un programme très éclectique a été concocté pour les communes maraîchines de Coulon et Magné, et des propositions théâtrales et musicales gratuites ont été proposées au public. Des spectateurs nombreux ont pu se rendre sur l’aire de l’Autremont : le vendredi pour apprécier un duo de jonglage avec la compagnie Cara de Niort et le dimanche, une présentation très étoffée avec deux spectacles. D’abord Martine, voyante des territoires, une fresque très fine d’autant que le marais est au centre de ce spectacle. L’autre spectacle était intitulé Vie de grenier, pour une pièce de théâtre burlesque : une ambiance détendue qui a plu aux enfants, les deux personnages étant à la fois hilarants et attendrissants. Dès 19 h, l’orchestre de Pacho Combo a ouvert une porte musicale sur la musique latino, des airs de salsa, pour un panorama musical qui a fait voyager le public au travers tout le continent sud-américain, des pays andins à Cuba. Cette formation de six musiciens régionaux a reçu le concours d’un authentique chanteur et flûtiste péruvien, Ronal Carreno.

Samedi, les Briouxais ont découvert les rythmes des musiques apportées par le groupe niortais Pacho Combo, soirée qu’une soixantaine de participants ont eu plaisir à partager, autour de la table ou pour danser. Plus d’une quinzaine de salseros et salseras de l’atelier salsa de Melle ont pris part à cette première soirée cubaine organisée par l’Amicale culture et loisirs de Brioux.

Entre les saveurs parfumées, légèrement sucrées et avec une pointe d’acidité du mojito cubain, la salade, le picadillo et le flan de coco, le plaisir a été doublé par l’autre cocktail servi par les sept musiciens de Pacho Combo. Dirigés par le percussionniste Sébastien Menneguerre, ils font voyager au travers des rythmes latinos avec comme guide le chanteur Ronal Careno. Son style et sa voix font vibrer au rythme endiablé de la salsa, rappelant le soleil des Caraïbes et l’ambiance « caliente » des musiques cubaines et colombiennes. […]

Source : La Nouvelle République