Publié le Le groupe PhilM Quartet joue dans le réfectoire devant un public conquis.Le groupe PhilM Quartet joue dans le réfectoire devant un public conquis.
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Ambiance jazz, au collège de Coulonges-sur-l’Autize, pendant six semaines. Jusqu’au 9 avril, le groupe PhilM Quartet intervient dans l’établissement. Ce projet culturel, proposé par l’Inspection académique, a pu voir le jour grâce à l’accompagnement du Département. Le Carug, représenté par Rock Touzé et Lise Hatrel, de l’association La 7 ou 9, coordonnent le projet avec Marine Jeanty, professeur de musique. En guise de lancement, un concert a eu lieu le 23 février sur le temps du repas, dans le réfectoire. L’engouement a été général. « C’est un peu comme dans les bars ou les cabarets, ça apporte du soleil et de la bonne humeur », précise une élève. « La musique permet de créer des lienet c’est bien pour le collège », explique une autre. Les quatre musiciens, qui interprètent le répertoire de Philippe Meunier, compositeur et guitariste du groupe, travailleront majoritairement avec la classe de 5e C, avec pour objectif une mise en chants et en textes slamés des morceaux musicaux. Tout le niveau 5e réalisera des supports visuels en format numérique, en guise de décors de fond du spectacle final.
Concert et échange sur l’histoire du jazzLe groupe interviendra auprès des classes de 6e et de 5e pour un concert, un échange sur l’histoire du jazz et une présentation des instruments. Une autre classe de 6e, coachée par Sylvie Sarrazin, professeur de français, aura l’occasion, dans le cadre du Printemps des poètes et avec le soutien d’un metteur en scène du théâtre du Bocage, de déclamer des poèmes accompagnés par les musiciens… Si le temps le permet en extérieur dans le jardin partagé. Un bien fou en ces temps un peu moroses !

Les interventions continuent et se développent au sein de plusieurs établissements scolaires. Voici un lien vers le site de l’inspection académique, très intéressant pour parler du projet PhilM Quartet du moment.

PhilM quartet a joué dans le self du collège Henri Martineau à Coulonges pendant le repas des élèves

PhilM Quartet à l’école de Mazières en Gâtine.

Pour sa première journée le 23 février, le groupe est passé dans trois établissements afin de proposer aux élèves une véritable immersion dans leur univers influencé certes par le jazz mais aussi par des musiques d’aujourd’hui comme l’électro.

Les compositions que les élèves ont pu entendre sont signées Philippe Meunier.

Nous proposons également :

Initiation au chant choral jazz avec les Salt Pin Ups, groupe de jazz vocal années 40-50

  • Rencontre avec la musique vivante: Jean-Michel ANTOLIN et Sarah SOULARD, deux des quatre membres des Salt Pin UPS, racontent l’histoire du groupe, jouent en direct et font partager leur univers et leur répertoire.
  • Découverte de la polyphonie vocale et du travail d’arrangement
  • Développer le sens de l’écoute et la sensibilité artistique.

Initiation à la jonglerie et à ses différents objets avec Hughes Jouët-Pastré, comédien, jongleur et auteur

En fonction de l’âge et du potentiel des participants, les objets proposés pourront être foulards, balles, anneaux / bâtons du diable, diabolos, chapeaux / balles contact, massues, sous forme d’ateliers ludiques.

Mardi, le Pays basque s’est invité à la Résidence du parc. L’établissement a une gestion particulière des événements qui s’y déroulent, une gestion participative grâce à l’action conjuguée de l’association interne du Bois-Joli et à la commission menus. […]

Le Pays basque s’est donc invité à la table de la résidence et, après ses mets délicieux et la sieste réparatrice, l’après-midi s’est poursuivi par un spectacle de jonglage et de danse, extrait en partie du spectacle « Gustave, jongleur à deux balles » de la compagnie niortaise La Rue Till. […]

Source : Ouest France

Les dates s’enchaînent à un rythme effréné au démarrage de la troisième édition des Soirées du patrimoine. Après Ménigoute vendredi et Gourgé hier, c’est au tour d’Azay-sur-Thouet d’accueillir, ce mardi 10 juillet, une étape du festival itinérant du Comité d’aménagement rural et urbain de la Gâtine (Carug).

Pour l’occasion, le groupe Rocksteady Bears se produira à 21 h sur le parvis de l’église Saint-Hilaire. Déniché dans les contrées les plus reculées du Poitou-Charentes, ce trio vocal de rocksteady, issu de la compagnie Autour de Peter, devrait faire danser et vibrer le public sur les plus grands tubes de la musique jamaïcaine des années 60. Une musique qui mêlera le ska et le reggae. Comme d’habitude, le concert sera gratuit. […]

Source : La Nouvelle République

« C’est la belle nuit de Noël, la neige étend son manteau blanc… » Samedi soir, l’intemporel Petit Papa Noël ne sonnait pas comme la berceuse dont on a l’habitude. La chanson était plutôt rythmée par le martèlement de la batterie, relevée par une guitare électrique et soutenue par une lourde basse.

Le trio Chewing-gum a livré une réinterprétation bien personnelle des chansons de Noël, lors du spectacle Chaussettes Rouges on fire, sur le marché de Noël. Plus qu’un concert, un véritable spectacle pyrotechnique s’est déroulé sur les yeux du public, avec le cracheur de feu et les jongleuses de la compagnie Sotys, menée par Soraya Bouzid. Une ambiance rock’n’roll qui n’a rien enlevé à la magie des fêtes.

Fontenaisiens, les musiciens de Chewing-gum ont l’habitude de tourner en Vendée et dans les départements voisins. C’est naturellement qu’ils ont voulu démarcher la mairie pour les animations de Noël. « Et comme la compagnie Sotys participait aussi aux animations, on a décidé de s’associer. » Une collaboration qui risque de durer dans le temps, puisque Soraya Bouzid aimerait « rejouer ce spectacle et l’adapter en fonction des événements de l’année, comme les vacances d’été ». Affaire à suivre ?

Source : Ouest France

Proposé pour la première fois à Coulon dimanche, c’est le nouveau spectacle produit par la 7 ou 9. Laurent Baudouin, le crieur public donne de la voix.

Sur la place de l’Église de Coulon ce dimanche midi, en guise de mise en bouche, Laurent Baudouin, installera son tabouret. Pas uniquement pour s’asseoir dessus. Plutôt pour prendre de la hauteur et du haut de son piédestal lancer les bonnes nouvelles du jour.

Laurent revêtira son costume tout neuf de crieur public. Cette prestation sera la première du genre. Une proposition de la 7 ou 9. « L’Association de protection niortaise a pour vocation de regrouper sur un même perchoir les musiciens plus ou moins sauvages, nicheurs, hivernants ou migrateurs de la région, afin d’entretenir leur bonne santé créatrice et de multiplier les envols publics. »La formule imagée figurant sur la page d’accueil du site illustre la volonté de Lise Hatrel et Frédérique Martineau de soutenir l’expression culturelle locale. […]

Un peu garde champêtre, le crieur à la tenue chique, alignera quelques mots chocs pour ses déclamations : « C’est une des belles disciplines du théâtre qui demande de vraies qualités vocales sans aucun appareil de diffusion. »De belles facultés aussi d’improvisation même si l’essentiel, « le canevas » est écrit à l’avance. La situation géographique, l’annonce officielle, les réclames passagères, les lectures des messages déposés dans une boîte aux lettres constituent le fil de ses trente minutes égayées d’une petite chanson yé-yé sur le broyé du Poitou.

Et le tout se termine par… le mot de la fin : « Je souhaite bonne vie aux spectateurs en leur disant qu’ils peuvent crier eux-mêmes si le cœur leur en dit. » A bon entendeur…

Source : La Nouvelle République